WWH 5

Wi Watt’Heure s’écoute et se regarde. Dans ce numéro 5, quatre artistes parlent la même langue : l’italien. Trois parlent (aussi) le français, une est traduite. Deux vivent en Italie, à Florence, deux vivent en France à Paris.

Ce qui est questionné, c’est la contingence, et la surface.

Les entretiens ont été réalisés de façon très différente, rien ne les rassemble sauf ce désir de rester « à la surface », et l’appartenance de ces artistes à la société italienne, une société marquée par l’ère Berlusconi.

Je connaissais à peine le travail de deux d’entre elles, mais un angle de leur pratique m’avait interpellée. Le nombre de documents et la longueur inégal des propos n’a pas de signification particulière. Ce numéro 5 de wi watt’heure se visite comme une installation.

Antonella Bussanich est plasticienne, Claudia Triozzi est chorégraphe, Rosaria Lo Russo est poétesse, Valeria Guiga est interprète chorégraphique et notatrice Laban. Toutes les quatre travaillent dans le champ des arts contemporains, non institutionnels.



Antonella Bussanich : dessin

« 20 ans de régression sociale … »


Anna Sokolof, chorégraphe américaine évoquée par Valeria Guiga


Entremêlement 2


Antonella Bussanich : COPPIE


Claudia Triozzi « Pour une thèse vivante », entretien


Claudia Triozzi « Pour une thèse vivante¨ création 2011 à la Ménagerie de Verre


Photo © Olivier Charlot

Rosaria Lo Russo


Antonella Bussanich : « source »


Antonella Bussanich

Claudia Triozzi : claudia.triozzi(at)yahoo.fr

Antonella Bussanich : antonellabussanich(at)yahoo.fr

Rosaria Lo Russo : femminafonica(at)gmail.com

Valeria Guiga : valegiuga(at)wanadoo.fr

Pour toutes informations concernant wi watt’heure : carole.rieussec (at)free.fr

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