
Les techniques inventées en studio (c’est-à-dire hors scène) au cours de l'histoire de la musique électroacoustique sont passées et passent encore progressivement à la pratique de l'improvisation (c’est-à-dire à la scène) : bidules, objets, bricolages électroniques, corps sonores, techniques de bruitage, gestes… approches très ouvertes de l’instrument (instrument comme bidule et/ou techniques étendues).
Ce terme est à prendre dans tous ses sens. Manifeste-revendication : pour une conscience préalable à tout art de l’image. Parce qu’utiliser l’image implique des enjeux qui dépassent l’imageur ; ils l’inscrivent dans une filiation d’usages dans l’histoire, c'est-à-dire une continuité d’humanité. Parce que l’image affecte, touche au psychisme – et peut-être même le révèle. Parce qu’il faut penser la technique pour penser la substance. Et parce qu’il faut, aujourd’hui, prendre conscience et position sur le statut de l’image dans une société post-moderne du visible.
Entretiens croisés avec Eryck ABECASSIS, Erik BARON, Jean-Claude ELOY, Dror FEILER, Emmanuelle GIBELLO, Gérard HOURBETTE, Pierre JODLOWSKI, Zbigniew KARKOWSKI, Ulrich KRIEGER, Benjamin THIGPEN, Pierre-Alexandre TREMBLAY, Franck VIGROUX, Wilfried WENDLING.
Également en ligne en version intégrale http://www.revue-et-corrigee.net/?v=interviews&a=2012
Autour de la réédition des premiers disques du guitariste, "Your Past Comes Back To Haunt You (The Fonotone Years 1958-1965)" paru chez Dust-To-Digital.
À l’occasion de la publication de "Fucked on a pile of corpses" (1) (Cold Spring Records) de Skullflower, autoproclamé leur "album le plus extrême à ce jour", Joseph Burnett rencontre Matthew BOWER pour évoquer la genèse de ce nouvel album, ainsi que son opulent parcours musical.