R&C 125 – Septembre 2020
J’oscille, tu oscilles, il oscille, nous oscillons, vous oscillez, elles oscillent sans cesse entre rage et tristesse. Le moment seul décide. Le temps est le fléau de la balance. Toutes choses finissant toujours par se déséquilibrer. L’art est le seul point d’équilibre possible, instable. Là où rêve et réalité s’accouplent. ARTICLETHE GREAT LEARNING ET L’ESTHéTIQUE DE L’éCHEC DE CORNELIUS CARDEW par Matthieu Saladin INTERVIEWSKATSURA MOURI De Bruit Et De Zen par Michel HenritziDE L’UTILISATION DE LA MUSIQUE SUR LES ONDES...