Catégorie : Wi Watt’heure

WWH 17

Dominique Répécaud est décédé, il y a peu de temps, trop peu de temps pour lui consacrer un numéro spécial. Parce que nous sommes tristes, parce qu’il est parti trop tôt, nous lui faisons un premier clin d’œil avec la cyber exposition d’un de ces dessins. wi watt’heure se poursuit avec un entretien avec Anne Kawala autour de sa performance au Festival sonorités # 12. Anne Kawala est auteure. Elle expérimente le langage comme s’il était un chemin inconnu, et...

WWH 16

En parallèle à la parution de l’entretien avec Anne Dreyfus dans la revue papier, voici quelques éléments textuels et visuels pour fêter les 10 ans du Générateur !

WWH 15

Didier Aschour et Andréa Pellegrini ont rencontré Adriana de los Santos cet hiver. De retour d’Argentine, il/elle la proposent à la rubrique wi watt’heure.Adriana de los Santos est pianiste, compositrice, improvisatrice, elle est une référence incontournable de la musique expérimentale argentine.Elle fonde le collectif Experimenta et le premier festival de musique expérimentale d’Amérique Latine. Passionnée, engagée, elle joue dans des usines désaffectées et milite pour les droits des musicien/ne.s qui ne font pas partis des circuits institutionnels. La qualité sonore...

WWH 14

Polyphones est un projet initié en 2015 par Dinah Bird, Marie Lisel, Gaël Segalen, Valérie Vivancos et Christine Webster. Aujourd’hui, en mars 2016, les choses ont bougé ! Polyphones est en mutation, s’est scindé, et s’ouvre à de nouvelles énergies. Polyphones s’est multiplié et a déjà inspiré d’autres initiatives, comme Fair_Play. Dans cette même période apparaissent également les collectifs Meta et Elles ont des ailes. Riche période pour les expérimentations féminines ! Wi Watt’Heure # 14 diffuse l’énergie de la...

WWH 13

Nathanaëlle Raboisson est artiste sonore et chercheuse en esthétique. Elle a créé un laboratoire de recherche au sein de Motus, association dédiée à la musique acousmatique. J’ai interrogé Nathanaëlle sur différents angles de sa recherche esthétique, principalement sur ses recherches sur l’œuvre interactive mais aussi sur la l’interprétation des musiques acousmatiques. Nous avons commencé par un entretien dans l’école où elle enseigne la composition électroacoustique, à Bagnolet, mais Nathanaëlle n’a pas été satisfaite de ses réponses et a préféré reprendre...

WWH 12

Il n’est pas toujours aisé d’interroger des artistes dont la pratique frôle la sienne. C’est pourquoi j’ai attendu quelques numéros pour poser des questions à une improvisatrice. Sophie Agnel est la première musicienne à évoquer l’improvisation à travers, notamment, le prisme du genre.Le piano n’est pas un instrument neutre, il aurait sans doute été pertinent que nous parlions de classe sociale, de « milieu », de déstructuration de l’instrument au sein d’une histoire instrumentale occidentale, mais c’est une première rencontre, l’entretien pourrait...

WWH 11

Existe-il « un chronomètre du genre » dans chaque lieu où se produit la parole, qu’elle soit intime, sociale, politique, scientifique, poétique ? La prise de parole, définie comme la possibilité de générer du sens, dans l’espace intime et public est un acte hautement symbolique du point de vue de l’analyse des rapport de pouvoirs, c’est un « analyseur »de la domination tout court, masculine notamment. Cette prise de pouvoir est également audible dans la musique improvisée, puisqu’elle se tisse dans un jeu de...

WWH 10

Contrairement à ce qui a été annoncé dans la revue papier, la rubrique consacrée à Edith Azam est reportée. Dans ce numéro 10, deux évènements sonores gravitent autour du féminin.  L’un par la voix, le sens, les voix, l’autre par l’histoire des musiques électroniques. C’est un parallèle que wi watt’heure vous propose d’entendre. Il n’y a pas de lien entre les deux évènements, une simple mise en perspective.

WWH 9

wi watt’heure 9 écoute Catherine Lamb, compositrice américaine, altiste : elle parle de l’ombre. Une structure spatiale simple de l’interview (stéréophonique/ biphonique) se superpose à sa pièce solo : « shade/gradient » qu’elle a donné la veille au Festival sonorités. Une impression de trouble, d’instabilité vient ombrer les mots, le sens, et l’écoute de la musique.  Catherine Lamb est traduite en direct par Angela Kent. Il est possible de lire la partition de « shade/gradient » dans l’onglet 2. Catherine Lamb : http://www.sacredrealism.org/catlamb

WWH 8

wi watt’heure 8 plonge en Afrique, s’arrimant au Black Feminism, avec comme guide l’anthropologue Patricia Hill Collins et la valeur qu’elle accorde au dialogue et à l’écoute dans la constitution de nouveaux savoirs. Joachim Kaboré-Drano lit quelques fragments de Patricia Hill Collins, extraits de son article « la construction sociale de la pensée féministe Noire », « The Social Construction of Black Feminism Thought », texte traduit par Anne Robatel, paru dans Black feminism, Anthologie du féminisme africain-américain, 1975-2000. Entretien...